Un peu long mais à lire:
Par une simple analogie entre le monde animal et le cerveau, il est possible de démontrer des relations causales surprenantes mais néanmoins scientifiquement véridiques selon les spécialistes les plus affirmés et reconnus dans leur domaine.
Un fait est établi depuis longtemps dans la nature sauvage africaine : un troupeau de gnous ne se déplacera en moyenne pas plus vite que le gnou le plus lent. Lorsque le troupeau est pourchassé par un prédateur (par exemple le terrible Winistorfus à poil roux), ce sont les gnous retardataires, les plus faibles, qui trépassent les premiers. Cette règle de sélection naturelle est primordiale pour le troupeau dans son ensemble, puisque la vitesse générale et la santé du groupe sont conservées
avec la disparition régulière de ses membres les plus inaptes à la survie.
De la même manière, le cerveau humain ne peut pas aller plus vite que le plus lent de ses neurones. C’est du moins ce qui ressort si l’on pose comme hypothèse que le cerveau travaille en sériel (Cette hypothèse est confirmée par des études de Cortex et Léonard, après une opération à cerveau ouvert sur respectivement Minus et sur son fidèle disciple).
Comme chacun le sait, la consommation excessive d’alcool détruit les neurones. Mais, étant donné l’hypothèse qu’ont démontrée les expériences de Cortex et Léonard et l’analogie aux troupeaux de gnous, ce sont les neurones les plus faibles du cerveau, qui sont attaquées en premier. Ainsi, la consommation régulière d’alcool élimine les neurones les plus faibles, faisant du cerveau une machine de guerre toujours plus rapide et plus efficace (Je rappelle que W se tape chaque jour deux whisky double le matin et, depuis la fin de la guerre froide, une vodka tonic pour mieux s’endormir. CNN nous le cache mais Voici non).
Le résultat de cette étude neurologique cognitivement réfléchie et étudiée vérifie et valide avec un r=0.97 et à un taux de significativité de 98% la corrélation entre les fêtes de fin de semaine de notre institut et le rendement exceptionnellement élevé des universitaires participants fraîchement diplômés ou sur le point de l’être. Par ces faits, on comprend aisément pourquoi, quelques années après la sortie de l’université et après s’être marié, la plupart des anciens étudiants ne peuvent plus maintenir le niveau de rendement antérieur.
Seule la minorité qui persiste dans un régime strict d’une consommation vorace d’alcool peut maintenir son niveau intellectuel tel qu’il était durant ses années estudiantines. Voilà pourquoi un bonne grosse biture, même délocalisé, est utile, pour ne pas dire nécessaire.
Merci à leurs instigatrices et instigateurs de nous entraîner à une consommation régulière et élevée. Nous nous joignons à l’industrie de l’alcool pour espérer sa poursuite une fois notre verre d’étude avalé.
Pendant que notre pays est en train de perdre son potentiel intellectuel, nous devons nous mobiliser !!! Pour toutes ces raisons, prenons donc les armes, allons aux bars ! Buvons des litres et des litres ! La societe et la paix ont besoin de nos performances maximales et on ne dois pas renier la carrière qui nous attend.